les longues feuilles en fée à l’automne apaisé tourbillons affamés irrités perdantstombent sur orpins éclairésen orpaillage des terres des humus en déchetset en musc d’orongeet en mille ormilles tous en synchronicitéet en chute de vieilles feuilles ralentieset en jaunes tons délavésen orgie des lumières changeantes ; des cristaux végétauxfaisaient les feuilles oriflamme du mondeau vent balancéesen rouille en roux en rouvrel’orientement des voileset les ornes à fleurs en ornements organisés en embellies en ondéesen trilles et mordants , dans un ensemble ordonnéles on-dit des feuilles dans l’ornière remplissantles orteils des arbres recouverts en chaussonsorvets et orties jaunissants en concierges, aux piedsdans le vent moulant et démoulant façonnant l’automne apaiserait les iresl’orgasme bouillonnant naturel des vents dans mes voilesorganiste je poufferais des orémusdans le vent encombrant dans l’automne enchantédéjà à l’automne de la vieen pluies d’enfouissementsencore en plein enfantement dans les travers des songes rires et soupirsdiscrètement renaissance en naissance des bois